NOM COMPLET: Je porte le prénom de Milan, mon second prénom est Edwards qui était le prénom de mon grand-père paternel. Mon nom de famille est Rhodes, un nom plutôt répandu aux Etat-Unis. Il y a de fortes chances que vous ayez déjà vu mon nom quelque part, je suis neurochirurgien renommé à l'hôpital de Camrose. ★ AGE: Je n'aime pas spécialement dire mon âge, je préférerai vous dire que j'ai vingt-cinq ans, veillir me fait peur. Depuis que j'ai atteint la trentaine, je ne compte même plus. J'ai trente et un ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Je suis né un quatre juillet mille-neuf-cent-quatre-vingt-trois, jour de l'indépendance des Etats-Unis. Sous les feux d'artifices de la grosse pomme, New York. ★ NATIONALITÉ ET ORIGINE: Américain de pure souche, toute ma famille sans exeption est née aux Etats-Unis, en partant de New York jusqu'à San Francisco. ★ STATUT CIVIL: C'est comme mon âge, je ne supporte pas cette question de savoir si oui ou non je suis célibataire. Disons que je n'ai pas trouvé la femme qu'il me faut et je n'ai jamais cherché à me poser non plus. Je préfère ne pas me poser de questions pour le moment, ça va, ça vient et cela me conviens parfaitement. ★ MÉTIER/ÉTUDES: J'ai fait des études de médecine qui ont duré pas mal de temps et aujourd'hui je suis titulaire à l'hôpital de Camrose en tant que neurochirugien. J'ai pour objectif de viser le poste de chef du service de chirurgie, mais chaque chose en son temps. ★ STATUT FINANCIER: Je n'ai pas à me plaindre, j'ai bossé très dur pour en arriver là où je suis aujourd'hui et afin d'avoir un bon confort de vie. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : On dit souvent de moi que je suis un bon orateur, que j'ai de la prestence et du charisme ; ce qui parfois mon donne cet air d'homme invincible et trop sure de lui. Si vous creusez bien, vous vous rendrez vite compte que je suis loin d'être invincible, j'ai mes points faibles. Je suis quelqu'un qui peut-être sensible, je ne le montre pas forcément mais je suis un ours en peluche. J'aime les femmes et je ne pourrais jamais le nier, j'ai beaucoup de conquête à mon actif mais j'ai toujours été très respectueux et fidèle lors de mes relations. On me reproche souvent mon manque d'humour, je suis aparement trop sérieux. J'aime que les choses soient bien faites, en temps et en heure. L'organisation est une de mes plus grande qualité, qui peut se transformer en défaut, j'en fais toujours trop. ★ GROUPE: Summer to your heart. ★ AVATAR: Ian Somerhalder.

je suis né à New York, le jour de l'indépence des Etats-Unis. ★ mon père a exercé le métier de neurochirurgien et ma mère le métier de journaliste. ★ j'ai une petite soeur de vingt-six ans. ★ je suis un grand fan de baseball, sport que j'exerce tout les week-end. ★ j'ai pour objectif de devenir chef du service de chirurgie. ★ je suis célibatairement libre. ★ j'ai horreur du football. ★ j'embrasse la croix que j'ai autour du cou avant chaque intevention. ★ j'ai un malinois de deux ans et demi nommé Whoopie. ★ je vis seul dans une grande villa de Camrose. ★ je suis constamment entrain de me recoiffer. ★ je lis toujours quelques pages d'un roman avant de me coucher. ★ je ne lève jamais la chevalière de mon grand-père paternel. ★ je regardais que très rarement la télévision. ★ j'écoute beaucoup de musique. ★ je cours tous les matin au moins une heure. ★ j'ai horreur de tous les légumes verts, ça me répugne. ★ je prends plus volontier du poisson, que de la viande. ★ je met systématiquement du ketchup dans mon assiete. ★ je ne suis pas mauvais en cuisine. ★ je ne suis jamais vraiment tombé amoureux. ★ je bois toujours un verre de whisky lorsque je rentre du boulot le soir. ★ je ne mélange jamais boulot et vie personelle. ★ j'ai eu une fois un relation avec une interne qui s'est mal terminée. ★ je mache très souvent un chewing-gum à la menthe. ★ j'adore allait au cinéma voir des films d'action.

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PLUS GRAND REGRET.
J'ai bossé extrèmement dur pour en arriver là ou je suis aujourd'hui, j'ai travaillé comme un dingue pendant des heures nuits et jours pendant mes études de médecine. Lorsque j'ai obtenu mon diplôme, j'étais à la fois heureux mais au fin fond de mon coeur une part de tritesse et de regret. Le regret que mon grand-père ne soit pas là pour voir ma réussite, cela peut sembler égoïste mais je n'étais pas destiné à faire de grandes études. J'étais plutôt le genre de garçon rebelle, se fichant pas mal des études. Et mon grand-père a cru en moin contrairement à mes parents, il m'a toujours dit que je deviendrai quelqu'un de grand et que je ferai de grands choses dans ma vie. Et il avait raison, je suis aujourd'hui neurochirurgien et mon principal but est de sauver des vies. Je regrette tant qu'il ne soit pas là pour le remercier d'avoir cru en moi.

ENDROIT FAVORI.
Cela peut sembler bizarre, mais l'endroit où je me sens le mieux c'est à l'hôpital où je travaille. Certains pourrait penser que c'est complètement ridicule et pourtant lorsque je quitte mon lieu de travail, il me tarde d'y revenir. Je vois du monde, mes collègues de travaille avec qui je peux discuter de tout et de rien à la fois, les patients que je soigne qui retrouvent le sourire lorsque je leur annonce que tout ira pour le mieux pour eux. Lorque je suis chez moi dans ma grande villa, je ressens une solitude immense, alors qu'à l'hôpital c'est tout le contraire, je me sens vivre. Je me sens bien tout simplement.

OBJET FAVORI ET SON HISTOIRE.
Lorsque j'avais seize ans, mon grand-père paternel avec qui j'ai toujours eu une relation très fusionnelle est entré à l'hôpital ; très malade on lui a très vite décelé une tumeur au cerveau inopérable. Il était condamné. Pour moi cela a été très dure à encaisser, me dire que j'allais perdre mon modèle, à n'importe quel moment. Alors qu'il était sur son lit de mort, mon grand-père m'a remis entre les mains un chevalière. Une chevalière en or jaune, avec les initiales "ER" Edward Rhodes, le nom de celui-ci. Une magnifique pièce qu'il m'a offerte, qu'il m'a confié avant de fermer les yeux pour toujours. Je tiens énormément à cette bague, je l'ai récemment fait refaire en y mettant mes propres intiales. Je l'a donnerai surement un jour à un de mes enfants espérant qu'il y tienne autant que moi j'y tiens.

Dans la soirée le ciel s’est chargé de nuages, devenant subitement très sombre. Au loin ça tonnait et les éclairs flashaient. Et puis les premières gouttes épaisses se sont mises à tomber. Un vent terrible qui pliait dangereusement les arbres. En quelques minutes une pluie diluvienne s’abattue sur Camrose. Assis près de la cheminé, je regarde les flammes vives dégageant lumière et chaleur. J’aime le son de la buche qui crépite dans le foyer. Un verre de whisky à la main, une habitude que j’avais prise depuis quelques années maintenant. Whoopie est là sur le sol, les oreilles se dressant à chaque bruit suspect, je le rassure de quelques caresses pour lui faire comprendre que l’orage se déchaîne à l’extérieur. On se croirait presque en pleine mer avec cette pluie qui frappe violemment sur les fenêtres. Je ferme les yeux un instant pour écouter les grondements assourdissants, l’eau qui ruisselle sur le toit.  Contrairement à certaines personnes, j’apprécie les soirs d’orage, cela me détend. J'ai l'impression que je me retrouve presque isolé du monde. Je me lève doucement pour aller en direction de la cuisine, je parcoure du regard la pièce et à ce moment précis je sens cette solitude. Etre seul n’est pas un choix que j’ai fait, je le subis simplement. C’est dur parfois, comme à ce moment précis. A force, j'en ai pris l'habitude. Je reprends mes esprits et termine mon verre de whisky le posant ensuite sur le plan de travail. Il est tard, j’ai eu une rude journée, les cernes sous mes yeux ne diront pas le contraire, je travaille trop, je le sais. Je suis fatigué. Demain m’attend une aussi dure journée, bizarrement il me tarde que la nuit se termine. Etre à l'hôpital me satisfais plus que rester seul dans cette grande ville. La nuit va être longue, je le sais car je ne dors que très peu. La caféine ne me réussit pas. Je bois beaucoup trop de café, bordel ! Je dis bonne nuit à Whoopie, qui se rend dans son panier, il est temps pour moi de dormir au moins quelques heures. Dans la salle de bain, je fais face au miroir, je regarde ce visage fatigué, ce visage triste de solitude, je soupire doucement me rafraichissant le visage avec un peu d’eau. Je range soigneusement ma chemise et mon pantalon sur des ceintres et je  jette un coup œil à ma chevalière, l’objet si cher à mon cœur. Une bague offerte par mon grand-père sur son lit de mort. Je me dirige vers mon lit, je vais me coucher seul ce soir. Finalement, je peux que m'en prendre qu'à moi, peut-être trop exigeant ? Je soupire une nouvelle fois et je m'assoie sur le lit. Dehors, le vent s'est calmé, l'intensité de la pluie à baissé et les éclairs sont devenus distants. Un livre est posé sur ma table de nuit, je l'ai commencé il y a quelques jours et je décide de terminer les quelques pages qu’il me reste avant de fermer les yeux et trouver le sommeil, du moins essayer. Je regarde une dernière fois l'heure, il ne me reste plus que quelques heures à dormir, je ne trouve pas le sommeil et pourtant il le faut bien. Il faut que je sois en forme pour demain. Je ferme doucement les yeux et je me sens alors partir petit à petit vers un sommeil profond, je dors enfin...